Quel équipement photos pour le voyage ? #0014

Vous allez entreprendre prochainement un voyage à l’étranger. Celui-ci sera très certainement une expérience passionnante, et vous souhaitez que vos photographies puissent en témoigner. Quel équipement photos pour le voyage ? Que faut-il emporter ? Le choix de votre équipement est capital pour la réussite de vos projets photographiques.

 

Mais avant toute chose, si cela n’est pas déjà fait, je vous invite à lire l’article «Photo de vacances -#0008», le premier d’une longue série d’articles consacrés à la photo de voyage (#lpdv).  Parce qu’à mon sens, la première chose à préparer n’est pas son matériel. Cette étape intervient bien plus tard. Cela paraît trivial, mais si vous n’étudiez pas la destination, vous ne pouvez pas savoir à l’avance ce que vous allez trouver sur place, et donc quoi emporter !

En feuilletant les magazines photographiques et en parcourant les sites internet spécialisés, on est vite déconcerté par le grand nombre d’appareils existants et disponible à la vente. Du plus petit compact numérique au plus perfectionné des boitiers reflex. Le but de cet article n’est pas d’en faire une liste exhaustive, mais de passer en revue le matériel qu’il est possible d’emporter en voyage.

 

Quel type de boîtier ?

 

Un reflex ?

D’une visite à l’autre, d’une promenade à l’autre, on est amené à gravir des collines, monter des escaliers, emprunter toutes sortes de chemins, prendre les transports en commun. Même peu encombrant, un sac contenant un reflex et quelques optiques devient si lourd, après quelques heures de marche, qu’un petit kilomètre supplémentaire à pied peut devenir soudainement un obstacle insurmontable. L’équipement photos pour le voyage ne doit pas vous empêcher de visiter les lieux et prendre des clichés pour lesquels vous l’avez initialement acheté.

Je travaille depuis des années avec des boîtiers reflex, malgré toutes les contraintes que cela implique. Opter pour ce type de boîtier, c’est accepter d’acheter des objectifs onéreux, parce que la qualité finale de vos photos en dépendra.

Lorsque je voyage, j’emmène un maximum d’équipements dans mon sac photo. Ensuite, en fonction du programme de la journée, je me promène léger. Certains accessoires peuvent être laissés à l’hôtel lorsqu’ils ne sont pas nécessaires. C’est le cas par exemple du trépied, utile dans certains cas mais embarrassant à transporter toute la journée. Après plusieurs voyages, je connais désormais mieux mes besoins. J’essaie donc de voyager le plus léger possible, sans faire de concession sur la qualité des images.

⇒ Pour des raisons pratiques indéniables, je vous invite à voyager léger. En vacances, vous ne disposez pas du confort de votre domicile. De plus, avec tous les contrôles anti-terroristes mis en place depuis quelques années, cela devient une vrai galère de visiter certains sites avec un gros sac photo.

Depuis mai 2019, je suis désormais équipé d’un hybride Sony, en complément de mes reflex Nikon. A la lecture de cet article et à travers mon expérience personnelle, j’espère être clair et vous aider à choisir au mieux le matériel qui vous est le plus adéquat.

 

Un hybride ?

Les amateurs sont nombreux à se plaindre du poids des reflex, tout en ne se satisfaisant pas des performances des compacts. D’où le succès grandissant des hybrides. Arrivé récemment sur le marché, l’appareil photo hybride est une véritable alternative à envisager en voyage, pour ceux qui souhaitent partir léger. En effet, cet appareil combine la qualité d’un reflex avec ses objectifs interchangeables et l’avantage des compacts avec un poids et un encombrement réduit.

Avantage : la plupart des hybrides sont capables de faire de la vidéo.

Gros inconvénients : Le coût d’un tel appareil reste tout de même assez élevé. La technologie étant assez récente, peu d’objectifs sont disponibles actuellement, en comparaison du parc optique des reflex.

 

Un smartphone ?

Le meilleur appareil photo sera souvent celui que vous aurez avec vous. Le smartphone peut alors être une bonne alternative. Néanmoins, la qualité du rendu n’aura rien de comparable aux boîtiers reflex ou hybrides. Vous aurez probablement plus de photos floues, mal cadrées, etc.

En voyage, l’intérêt du smartphone résidera surtout dans la simplicité à envoyer instantanément ses images à ses proches ou à les poster sur les réseaux sociaux.

 

Quel objectif ?

Comment choisir les objectifs à emmener avec soi ? Oubliez l’idée de tout prendre avec vous. Il est primordial de limiter le poids de votre sac. Surtout si vous prévoyez de longues journées de marche, de vélo…

Il est donc important de visualiser au préalable les photos que vous souhaitez réaliser une fois sur place. Préférez-vous :

  • la photographie de paysage – grand angle jusqu’au 24mm – ?
  • du reportage, du portrait – transtandard 35mm50mm voire 85mm – ?
  • ou un safari en Afrique – téléobjectif de 200mm et plus – ?

Selon le type de voyage et vos goûts, vous allez donc préparer votre sac différemment.

 

Le grand-angle

Le grand-angle est une focale très courte, à partir de 10mm sur APS-C ou 16mm sur un full frame. Il permet des angles de champs extrêmement larges.

Cet objectif est très utile en ville, lorsqu’il y a peu de recul, et parfait pour la photo de paysage.

 

L’objectif transtandard

Un objectif transtandard ( le 17-55mm ou le 24-70mm) est parfait en voyage. Il permet de couvrir un large éventail de situations : pour la ville et les paysages, pour le portrait… Selon moi, s’il ne devait y avoir qu’un seul objectif à transporter, ce serait sans aucun doute celui-là.

 

Le 50mm fixe en particulier

Le 50mm est un choix également judicieux. Il a trois arguments en sa faveur : il est très lumineux, très léger et son prix reste très abordable. Il permet ainsi de prendre des photos nettes dans des conditions de très faible éclairage. Idéal pour du reportage et il ne déforme pas les portraits.

 

Le téléobjectif

Le téléobjectif a une longue focale. Il s’avère à la fois lourd et très cher, si vous souhaitez un objectif lumineux. Une mise au point rapide et une bonne stabilisation vous seront nécessaires pour réussir à capturer les images d’animaux sauvages lointains, lors d’un safari par exemple.

Mais l’utilité de cette optique ne se limite pas à la prise de vues d’animaux : photos de portraits, de concerts ou de détails sont autant d’occasions de s’en servir.

 

La location du matériel photo ?

S’équiper pour la photo revient vite cher, louer est peut-être la solution !

Vous partez en voyage aux États-Unis et vous prévoyez de visiter et donc de photographier le mythique Grand Canyon, pour lequel un objectif grand-angle s’impose.
Problème : il coûte quand même quelques centaines d’euros et vous avez déjà consacré tout votre budget au billet d’avion et aux motels.

Solution : louez votre matériel ! Vous pouvez par exemple faire affaire avec un particulier en prenant contact avec lui sur Internet. C’est généralement la solution la moins onéreuse, mais attention à la fiabilité
de l’équipement. Vous pouvez aussi rechercher dans votre ville un revendeur-loueur photo. Le matériel est alors le plus souvent quasi neuf, vérifié et assuré. Le plus dur sera de le rendre à votre retour !

Les loueurs sérieux vous demanderont toujours un justificatif de domicile, une pièce d’identité et une caution, équivalente au montant du prix neuf du matériel. La location est également la solution dans d’autres cas de figure. Si vous hésitez par exemple entre plusieurs objectifs, en louer un ou deux le temps d’un week-end vous permettra d’y voir plus clair. Ensuite, lors de l’achat, le loueur-vendeur pourra vous faire cadeau du montant de la location si vous négociez un peu.

 

Mon équipement photos pour le voyage

Le choix de l’équipement qu’on est amené à prendre en voyage est tout à fait personnel. Je ne possède pas la solution miracle, car bien évidemment, il n’existe aucun voyage qui ressemble à un autre.  D’une manière générale, le matériel doit être adapté au voyage que vous faites. Ne vous encombrez pas d’un gros sac, si vous vous déplacez avec les transports en commun ou à pied. Ne partez pas non plus avec une seule batterie et une seule carte SD si vous partez plusieurs jours en randonnée dans le désert marocain.

Je vous précise de suite que je ne suis pas un exemple à suivre. J’emporte à chaque voyage l’équipement suivant :

 

Des boîtiers

  • un reflex Nikon D300s
  • un reflex Nikon D750
  • un reflex hybride Sony A7 III

 

Des objectifs

  • un objectif Nikkor 17-55 f/2.8 stabilisé pour le reportage au grand angle. Le grand angle est super intéressant en photo de voyage car il permet de mettre beaucoup d’informations et de raconter des histoires. Sur une photo au grand angle, on est capable d’immortaliser un bonhomme, son moyen de transport, sa cabane, ce qu’il boit et puis son quartier. Toutes les informations sont là ! C’est bien le genre de photographie qu’on retrouve dans les magazines. Le grand angle permet également de faire de la photo de rue, à main levée, sans regarder dans l’œilleton. On est alors capable d’intégrer les gens sans être remarqué.
  • un objectif Nikkor 70-200 f/2.8 VR1 stabilisé.  C’est le plus encombrant. Mais je ne parviens pas à me convaincre de le laisser à la maison.
  • un objectif Nikkor 50mm f/1.4 fixe pour le portrait.

 

Des accessoires

  • un flash SB700, pour les faibles conditions de lumière. Ou à l’inverse, si le soleil est trop présent avec une lumière très dure, le flash permet alors de déboucher les ombres.
  • un trépied Manfrotto 055xprob et sa rotule 804rc2. Généralement pour le paysage. Tout le reste à main levée
  • un ordinateur portable, écran 15 pouces, équipé d’Adobe Lightroom, programme de traitement et de gestion d’images
  • un assortiment de cartes Compact Flash et SD.  Pleins de Go
  • le lecteur de cartes, pour le transfert quotidien des cartes mémoires vers l’ordinateur portable
  • une caméra numérique Sony – une Gopro 4
  • le sac à dos Lowepro Flipside 400AW, conçu pour le matériel photo. L’ouverture unique au dos du sac offre un accès facile à l’équipement photo sans poser le sac à terre, ainsi qu’une sécurité supplémentaire lorsque le sac est porté sur le dos.

Cela peut paraître beaucoup, encombrant et lourd. C’est vrai ! Mais une fois sur place, une grande partie de cet équipement reste à l’hôtel. Je me déplace alors avec le strict minimum, en fonction de mon humeur du jour et du style d’images que je veux produire cette journée-là !

 

Votre équipement photos pour le voyage

 

Ergonomie et poids

Au-delà du charabia technique, vous devez surtout prendre le temps de tenir en main le boîtier, avant de vous décider à l’acheter ou non. Regardez dans le viseur et voyez si vous vous sentez à l’aise, car c’est finalement le principal !

Surtout qu’en voyage, le poids d’un gros boîtier n’est pas négligeable. Même si, dans le magasin, celui-ci peut vous sembler pas si lourd que cela… durant une journée entière, dans votre sac ou pendu à votre cou, ce sera une tout autre histoire.

 

Autonomie des batteries

Même si tout le monde ne passe pas sa journée à photographier, il est plus rassurant de prévoir des batteries de rechange – comme pour les cartes mémoire.

 

La contrefaçon

Acheter bon marché peut aussi coûter cher. Méfiez-vous de la contre-façon.

Si le prix des batteries est un frein pour vous, sachez qu’il existe des sous-marques dont l’autonomie n’est pas aussi bonne que chez les grands constructeurs, mais les prix sont divisés par deux. Mais attention, toutes ces sous-marques ne sont pas fiables.

Explications : Les produits photo connaissent, eux aussi, les affres de la contrefaçon. Parmi les plus touchés figurent les cartes mémoire et les batteries. La demande en produits meilleur marché
y est plus forte. Il est donc impératif d’être très prudent lorsqu’on achète l’un de ces produits sur Internet. Et ceci même si l’achat se fait chez des revendeurs connus. Certains se contentent souvent de
chapeauter de petites boutiques, sans garantir la conformité du matériel qui y est proposé !

Comprenons-nous bien : certaines batteries équivalentes aux modèles officiels sont conçues et vendues moins cher par d’autres constructeurs sous leur nom propre, il n’y a donc là aucun souci. Tout au plus certains modèles seront plus efficaces que d’autres. Mais une batterie contrefaite, c’est-à-dire vendue sous une marque qui n’est pas la sienne, présente deux problèmes :

  • Payer pour une qualité et une compatibilité qui ne sont pas forcément au rendez-vous,
  • Peu probable de se retourner vers le vendeur (et encore moins vers le constructeur contrefait), en cas de panne.

Sans parler des possibles détériorations du matériel et de la perte de garantie qui s’ensuivra pour utilisation d’un matériel non conforme. Bref, vaut-il mieux faire une relative économie ou jouer la carte de la sécurité ? À vous de voir…

 

Méfiez-vous également du froid. En voyage, le froid est un ennemi redoutable car il vide les batteries. Pensez à ranger vos batteries de rechange dans la poche intérieure du manteau – par exemple -.

 

Trois conseils bien utiles.

  • Il est tout à fait possible d’acheter un appareil, de le sortir de son emballage, de sélectionner le mode Auto et de prendre aussitôt de bonnes photos. Néanmoins,pour éviter les déconvenues et optimiser vos chances, ne partez pas en voyage avec un appareil photo que vous utilisez pour la première fois. Familiarisez-vous soigneusement avec votre matériel avant de vous mettre en route. Vérifiez son fonctionnement au moins six semaines avant votre voyage, et prévoyez suffisamment de temps pour le faire régler ou réviser en cas de besoin. Voire pour racheter un nouvel appareil et apprendre à vous en servir.
  • A propos d’achat, sollicitez différents conseils, faites des recherches minutieuses sur Internet pour connaître les derniers prix en vigueur. En une année, le secteur de la photographie peut évoluer considérablement et les prix, les fonctionnalités et les performances de tous les articles changent constamment.
  • Si possible, emportez un second appareil photo. Ceci est gage de sécurité en cas de perte, de dommage ou de panne. Personnellement, mon reflex argentique Pentax MZ-50 n’a pas supporté les fortes chaleurs du désert de Mojave, en Californie. L’utilisation d’un second boîtier permet de passer d’une focale à une autre, rapidement, et sans avoir à jongler avec des objectifs.

 

Quelques mises en garde

Vous hésitez peut-être à emporter du matériel coûteux avec vous. En effet, vous pensez être plus facilement sujet aux vols, aux pertes ou à la casse. Par ailleurs, tout le monde n’a pas envie d’avoir autour de son cou du matériel qui coûte plus que ce que les gens croisés gagneront parfois dans toute leur vie. C’était mon cas en Inde. Pourtant, je m’y suis senti en parfaite sécurité durant tout mon séjour – contrairement au métro parisien où sévissent tout un tas de pick pocket -.

 

Le sac photo se doit d’être discret

Souvent négligé lors d’un premier achat, le sac photo est pourtant indispensable à tout voyageur photographe soucieux de son matériel.

Chargé de protéger ses biens les plus précieux  -le matériel photo- ainsi que quelques autres accessoires importants (clés de voiture, chéquier, téléphone…), le sac photo est le compagnon fidèle du photographe en voyage… Lorsque vous voyagez dans un pays étranger en voie de développement, ayez conscience que le prix de votre matériel est probablement plus élevé que le salaire annuel de ses habitants. Pour cette raison, ne faites pas l’usage d’un sac photo trop voyant qui semble crier à qui veut l’entendre : « Eh ! Regardez-moi ! Je suis rempli de matériel photo qui coûte très cher ! »

Sachez que les voleurs savent reconnaître un sac photo d’un sac standard. Pour détourner leur attention, il est préférable de transporter votre appareil et ses accessoires dans un sac qui ne ressemble en rien à un sac photo traditionnel. Il est difficile, en quelques lignes, de déterminer celui qui vous conviendra, et seuls des essais en boutique (avec votre matériel) suivis d’une utilisation sur le terrain vous permettront
de le savoir.

Un conseil cependant : votre sac photo ne sera jamais assez grand. Vous voudrez toujours pouvoir y ajouter quelque chose. Sachant cela, choisissez-en un qui puisse contenir au moins un boîtier, deux optiques, une bouteille d’eau et quelques accessoires. Faites en sorte qu’il soit toujours chargé, prêt à être emmené (batteries pleines, cartes vidées et formatées).

 

A propos de la marque

De même, veillez à ne pas attirer l’attention sur la marque et le modèle de votre appareil photo. Les voleurs les plus avisés savent qu’ils toucheront le jackpot, s’ils trouvent un touriste voyageant avec un Nikon D5 ou un Canon 5D Mark IV. Par conséquent, je vous conseille de masquer systématiquement la marque et le modèle de votre appareil avec un adhésif noir. N’utilisez jamais la sangle où la marque de votre matériel figure en grosses lettres. Préférez lui une jolie sangle en cuir neutre.

 

Le gaffer

Le gaffer, certes disgracieux, est simple et efficace pour préserver son matériel photo. Il s’agit d’un ruban adhésif multi-usage, souvent de couleur noire, que l’on utilise sur les plateaux de tournage et dans les studios pour

  • ajuster des équipements,
  • fixer des accessoires ou des câbles,
  • indiquer des emplacements au sol, etc.

C’est tout naturellement qu’il a trouvé sa place en photographie.

Sa fonction de protection.  De nombreux photographes ont pris l’habitude d’en couvrir leur matériel (boîtier et objectif) pour le protéger. Il préserve de l’usure naturelle, des rayures ou des petits chocs, et empêche l’accumulation de saletés dans les petits interstices difficiles à nettoyer.

Sa fonction de camouflage.  Le gaffer évite d’attirer l’attention sur votre appareil photo. Un voleur pourrait s’imaginer qu’il est endommagé. Les photographes naturalistes utilisent également du gaffer à
motif camouflage pour que leurs boîtiers et leurs objectifs se fondent dans la nature.

Les qualités du gaffer sont multiples :

  • légèrement extensible, il s’adapte facilement aux courbes de l’appareil photo.
  • découpage facile sans outil, d’un coup sec. Mais pour un travail propre, cutter et ciseaux sont requis.
  • sa colle ne laisse pas de traces, mais se nettoie aisément dans le cas contraire.

Le gaffer n’est donc en rien, comme son nom ne l’indique pas, un accessoire « accessoire ».

 

Autre avantage à être discret

Si votre appareil photo est suffisamment discret, il vous sera possible de faire des photos en ville, des photos dans la rue. Vous pourrez photographier les gens ainsi que des scènes de rues, sans déranger et sans intimider. Vous passerez vraiment pour le touriste de service. Bien malin qui arrivera à dire s’il s’agit d’un modèle récent ou d’un appareil vieux de plusieurs années.

 

Cet article est désormais terminé. Il vous a certainement permis d’en apprendre un peu plus sur l’équipement photos pour le voyage. N’hésitez pas à aimer et partager cet article.  Parlez en autour de vous, cela fait toujours plaisir !

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% commentaires (2)

Bonjour Christophe,

“Les voleurs les plus avisés savent qu’ils toucheront le jackpot, s’ils trouvent un touriste voyageant avec un Nikon D5 ou un Canon 5D Mark IV” par conséquent, éviter de faire du tourisme avec un boitier qui fait à lui seul 1.5Kg est plus judicieux, et pas que pour les voleurs 🙂 .

Merci Alex pour ce commentaire.

Il est difficile d’apporter des conseils valables pour tout le monde, et en toutes circonstances.
Tout dépend de l’endroit où l’on se trouve.

Personnellement, j’ai déjà pris des risques en traversant un quartier chaud de Mérida – au Mexique – en ayant sur moi qu’un simple Canon S50 à l’époque.
Plus récemment, dans le métro de Tokyo – au Japon -, l’ouverture en grand d’un sac photo et le changement d’une optique sur un boitier ne pose aucun problème.
Encore plus récemment en Inde, je n’ai connu aucun problème avec mon matériel photo. Mon chauffeur m’expliquait que je ne craignais rien avec mon Nikon. Par contre, il ne fallait pas que je laisse trainer un billet de 10 roupies …

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