Nouveau défi : Vaincre la peur d’entreprendre – #0062

Aujourd’hui, j’ai envie de te parler d’un mot qu’il faut absolument retirer de son vocabulaire lorsqu’on est entrepreneur. Un mot qui bloque souvent la plupart des gens dans leur progression, leur développement : le mot NON. Et puis comment vaincre la peur d’entreprendre.

 

Oui ou Non

 

NON – le mot à bannir

Pour la plupart d’entre-nous, on a été éduqué à répondre NON. Lorsqu’on nous propose un défi, on a tendance à répondre : “Ouais, je ne suis pas sûr ! Non, en fait !”  Pourquoi ? On ne sait pas. Spontanément, c’est notre cerveau reptilien qui dit cela. Il a peur, il dit NON.

Le NON n’est pas une solution. Un mot à bannir !  Le NON est un mot de repli, un mot de protection qui empêche d’avancer… Si on veut progresser dans la vie, il faut adopter un autre comportement. Un comportement qui va nous permettre de passer au niveau supérieur, qui va nous permettre de nous développer.

Il faut combattre ce réflexe et apprendre à dire OUI en pleine conscience.

 

Adoptons la position du OUI

Le OUI est un mot qui fait peur. Le OUI, c’est l’acceptation de la difficulté, l’acceptation de l’autre, l’acceptation d’un risque, l’acceptation d’un futur incertain… mais c’est le OUI qui nous fait progresser.

Il faut accepter les challenges, les difficultés et tout ce qui pourrait nous mettre en danger. Parce que c’est dans ces situations que l’on peut franchir des caps.

Bien entendu, on ne peut pas dire OUI à tout. Mais globalement, il faut prendre le risque. Un trait de caractère que doit avoir un entrepreneur, nécessaire à mon sens pour se développer, c’est la flexibilité. Il faut pouvoir s’adapter aux situations et prendre les choses comme elles viennent.

Pour conclure, NON au repli sur soi. OUI au challenge, OUI à la difficulté, OUI à l’inconfort.

 

Mon premier gros défi

 

Vaincre la peur d’entreprendre

Plus on est en sécurité, plus on prend un risque à vouloir changer de vie. C’est pourquoi, il est beaucoup plus facile pour les gens qui connaissent la galère, et qui n’ont plus rien à perdre, de tout plaquer et se lancer dans une nouvelle vie.

De par mon vécu récent – une reconversion professionnelle -, je suis désormais intimement convaincu que les meilleures décisions sont prises lorsqu’on se retrouve dos au mur. La vie n’est pas un long fleuve tranquille. Il faut savoir profiter des cassures qu’on a de temps en temps, dans sa vie, pour reconstruire son quotidien.

J’ai quitté le salariat. Je suis désormais un entrepreneur libre, qui s’appuie sur la photographie pour développer sa vie.

 

La phase de démarrage

Je découvre donc le monde de l’entreprenariat. J’ai créé ma société, voilà maintenant un peu plus de 2 mois, le 16 février 2018. Durant très certainement toute cette année, voire une bonne partie de l’année 2019… je vais vivre une phase de démarrage; c’est à dire une période durant laquelle je vais beaucoup apprendre :

  • Me former aux techniques photo – pour élargir ma zone de confort, développer mes compétences et donc, être meilleur qu’hier.
  • Me former à la communication, au réseautage et au référencement. Tout cela afin de me faire connaître, développer le bouche à oreille et capter l’attention autour de moi.

Mais aussi apprendre de ce que je fais au quotidien, apprendre de mes erreurs. Parce qu’en effet, je suis un être humain, comme tout le monde; je ne suis pas à l’abri d’un faux raisonnement ou de mal gérer mes priorités qui pourrait me faire perdre du temps, par exemple.

Mais chacune de mes erreurs sera pour moi un pas en avant. Je m’explique : “Lorsqu’on fait un puzzle, on prend une pièce au hasard et on essaye de la placer dans un trou, et voir si elle rentre ou pas. Dans la plupart des cas, s’il reste beaucoup de pièces à placer, cela sera un échec. Mais je préfère voir cela comme le résultat d’une expérience qui m’a rapproché du résultat – de mes objectifs -. C’est à dire que je sais que cette pièce ne rentre pas là où je souhaite la placer. Ce n’est pas grave, je la mets de côté. Cela revient à ajouter une règle dans mon process de travail, en me disant qu’il ne faut plus la réutiliser, parce qu’elle n’a pas fonctionné. Et je sais que j’ai avancé d’une pièce. Je vais ensuite refaire un autre test avec une autre pièce, etc… ”

Derrière chacune de mes actions, y compris mes erreurs, je vais obtenir un rendu / un résultat. Et donc je serai en capacité à décider si cela vaut le coup de la refaire, ou au contraire si telle autre décision n’amènerait pas de meilleurs résultats.

Au fil des semaines, des mois et des années, je pourrais me créer et affiner une sorte de code civil, c’est à dire toute une liste de choses qui fonctionnent pour moi et celles qui ne fonctionnent pas.

La phase de démarrage est assez fascinante. Je démarre mon activité en n’ayant pas forcément confronter toutes mes idées à mon audience, aux personnes qui sont face à moi. Le chemin est là devant moi, il ne me reste plus qu’à voir si je suis capable de l’emprunter tout en évitant les ornières. Les deux plus grandes embuches sont

  • de savoir si je pourrais faire de ma passion photo, une vraie activité économique pour vivre
  • et si je saurais intéresser les gens.

 

Et la suite …

Cette nouvelle vie m’apporte de nouvelles rencontres, de nouvelles opportunités et de nouveaux défis. Je commence à participer à des événements et à développer des projets que je n’aurais jamais faits auparavant. Ces nouveaux projets feront l’objet d’un prochain article.

 

#Ma première grosse expérience dans le photographie de sport.

#Mon expérience dans la photographie de concert.

 

 

Celui-ci est désormais terminé. N’hésitez pas à aimer et partager cet article.  Parlez en autour de vous, cela fait toujours plaisir !

 

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