J’adore mon Nikkor 70-200mm f/2.8 – #0162

Le Nikkor 70-200mm f/2.8 est l’optique la plus lourde, la plus encombrante et la plus chère que je possède ! Mais c’est un objectif essentiel dans de nombreuses situations.

 

  • En randonnée ou en balade urbaine, la tendance est de montrer dans mes images le plus d’informations et d’éléments possibles pour situer la scène et traduire mon propos.
  • Lors d’un mariage ou encore dans la photographie de rue, cet objectif me permet de capter des instants sur le vif, d’un peu plus loin, en toute discrétion.
  • En concert, je peux isoler un artiste, un détail tout en étant éloigné de la scène.
  • Au bord d’un terrain de football, je suis proche de l’action.

Avec ce « gros » objectif qu’est le Nikkor 70-200mm f/2.8, je ne suis jamais déçu. Il m’aide à ramener des images avec un point de vue unique sur le monde : le mien.

 

Le zoom : un point de vue efficace

Quel que soit le contexte, le point de vue que je choisis pour mes photos est déterminant. Cet objectif, dont la focale et donc l’angle de champ peuvent varier, est un excellent atout en me donnant la possibilité de modifier mon cadrage sans bouger. Mais je ne m’en contente pas. Comme je le fais avec mes optiques dites “fixes”, je continue à m’approcher, reculer, me baisser, me décaler vers la gauche -ou vers la droite-, me mettre sur la pointe des pieds, me coucher par terre… en un mot, je bouge tout le temps !

C’est le moyen le plus simple de trouver le bon angle et la bonne lumière.

 

Nikkor 70-200 f/2.8

 

Ce zoom : de la discrétion

Grâce à ce zoom 70-200, je gagne également en discrétion.

  • Au milieu d’une foule,  je peux approcher de façon efficace et rester invisible de mon sujet.
  • Lors d’une réception de mariage, je peux rester à l’écart, être discret, zoomer très fort et donc toujours rester invisible de mon sujet.
  • Sans rechercher forcément la discrétion, je peux néanmoins vouloir me tenir loin de mon modèle, qui sera ainsi plus à l’aise que si j’étais sous son nez avec une focale plus courte. Bien entendu, un modèle photo expérimenté est habitué à cette proximité. Mais ce n’est pas le cas de Monsieur ou Madame Toulemonde, qui se sentirait alors très mal à l’aise de me voir si près, rendant sûrement mon shooting infructueux.

Trois exemples de conditions essentielles pour une photo réussie, car comme le disait Robert Capa , « si ta photo n’est pas assez bonne, c’est que tu n’étais pas assez près ».

 

Le 70-200 f/2.8 – Une optique idéale pour le portrait en lumière naturelle

Ce Nikkor 70-200mm f/2.8 est l’une de mes optiques préférées pour le portrait en lumière naturelle. Ce zoom très flatteur dispose d’un piqué exceptionnel.

  • Ce zoom met en valeur les personnes que je photographie. Au-delà d’une focale de 100 mm, l’effet de tassement embellit les visages. A plus de 135mm, et à très grande ouverture f/2.8, le portrait se détache du fond.
  • La plage de focales du 70-200 mm offre beaucoup de souplesse de composition, sans avoir à se déplacer sans arrêt.

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